La cyberpoétique rêve sa révolte en dessous de nos mondes électriques. Elle chante l’espace de ses métamorphoses, disperse ses échos parmi l’abrüpt, désordonne ses passés, se met à la recherche de son devenir numérique. Elle silence, mais nous demeurons à son écoute.
Groupe d’anarchitectes et de désurbanistes (il faut détruire la ville pour conquérir la nuit).